Première athlète trans aux Jeux Olympiques 2021 ?

Grâce au changement réglementaire du comité international olympique de 2015, Tôkyô va peut-être accueillir la première athlète trans. L’haltérophile néo-zélandaise Laurel Hubbard remplit en effet les conditions requises pour participer aux JO cet été ! La Fondation FIER se réjouit de cette nouvelle étape pour des jeux olympiques plus inclusifs.

Logo des JO Tokyo aux couleurs trans
Logo des JO Tokyo aux couleurs trans

Si le sport olympique reste principalement binaire, il s’ouvre à la mixité et adopte progressivement des règles plus inclusives, pour les personnes trans. Certes, c’est encore très contrôlé avec la nécessité pour une personne trans de démontrer un taux de  taux de testostérone inférieur à 10 nanomoles par litre pendant une période d’au moins 12 mois. Mais c’est un premier compromis.

Au-delà de ce cas particulier de la compétition de haut niveau, la Fondation FIER engage le mouvement sportif à réfléchir à mieux accueillir les athlètes trans en leur sein en s’appuyant en particulier sur la charte Sport & Trans.

Mini revue de presse :

Francs Jeux Laurel Hubbard, premier transgenre sur la scène olympique

Insider: Hubbard is an automatic qualifier for Tokyo – Outsports